7 février 2016 à 11:29
EPIPHANIE
Même lorsqu’elles nous mettaient des branlés (pas tant que ça ? mais suffisamment pour qu’on ne s’envole pas vers les finales !) elles avaient le sourire. Qu’est ce que vous voulez répondre ? Par un sourire, niais, certes, mais un sourire malgré tout. Une respiration courte, hachée et superficielle, des lèvres crispées qui échappaient quelques « bien joué » mérités.
On déteste perdre (il faut être honnête) mais on a appris les bonnes manières. On a souvent entendu dire : « Si je fais de mon mieux ce n'est pas un échec » c’est bon pour les gagnants ! C’est comme tendre l’autre joue lorsqu’on vous met une calotte !!!!!! C’est bien pour les autres mais pas pour soi !!!
Positivement pensant, il est vrai que perdre un match, ce n’est pas comme perdre ses lunettes, après on y voit beaucoup plus clair, surtout sur ses compétences.
Et, Il y a eu (roulement de tambour) ces 2 rencontres où nous avons dominé nos adversaires. 2 Victoires (sur 5 rencontres) il n’y aurait pas de quoi s’en vanter….Et pourtant qu’est ce qu’on est fière ! Parce qu’elles ont été exceptionnelles.
Impossible de dire si depuis la planète Mars, ils ont pu pleurer nos défaites, mais je sais qu’ils ne pourront pas oublier nos mines réjouies, rosées, comme la gouttelette du matin, fraîche et pétillante.
C’est tout de même plus agréable que la figure pourpre de celle qui a couru tout le match après des balles qu’elle a ratées.
Conclusion, l’épiphanie pour nous c’est fini, mais il y a tellement de bons moments à mémoriser. La bonne humeur et les bons casse-croûtes ont dominé les résultats, et c’est là l’essentiel.
laurence DUMERY 7 février 2016 18:32
On remet ça l'année prochaine + les raquettes FFT + les vendanges ++++ = en haut de l'affiche
Commentaires