2 février 2014 à 19:45
le chiffre 2 à 3
Il n’est t’y pas normal que le jour de la chandeleur, nous ayons vu 36 chandelles et j’en oublie, un feu d’artifice dans le ciel bleu d’Estivareilles, intérieur, bien évidemment, nous savons nous tenir et n’avons montré qu’à demi rictus notre joie éééééééééééééééénorme.
Après Geneviève qui nous offrait un récital dans une salle dont l’originalité pouvait surprendre. Il fallait bien la baptiser notre Geneviève, toute nouvelle à Montluçon……Et oui, chez nous, en Auvergne, il y a du relief même sur les terrains de tennis.
Arrivent ensuite sous un soleil estival, captaine et Dephine, chacune sur leur terrain tout neuf, chacune leur adversaire (toutes neuves également). Tandis que Delphine, notre wineuse, enchaine des slice de revers fluide qui s’écrasent sur le court avec des amorties distillés à la perfection, notre captaine, s’écrase elle aussi. Après le premier jeu, elle n’avait déjà plus d’essence dans le moteur. Si seulement, Tsonga avait été là, il lui aurait filé la moitié de son kinder bueno. Rien, même pas un verre de rosé. Sa présidente, son entraineuse et son coach l’ont laissée se dessécher sur le terrain …… c’est bien la peine de se déplacer avec tout son staff…
2 à 1 pour Estivareilles .....Elles nous reçoivent, nous sommes bien élevées. Ce qui n’est pas le cas de nos 2 championnes du monde, qui rentrent sur le terrain sous un tonnerre d’encouragement, intérieur, surtout de la part de notre Caro nationale, qui noie les défaites de ses 2 pouliches dans le rosé pamplemousse. Seule Ida, irritée par ce même pamplemousse, se trompait parfois de maison. Elle n’a reconnu son équipe qu’à sa victoire. Y aurait t’y pas un peu de Caro la dessous !!!!
Et là Nous verrons apparaître la lumière céleste. Eblouies, abasourdies devant des services de plomb, des coups tranchants, des volées à faire pâlir federer. Un match chaud bouillant où laurence (notre très grande présidente) et Clélia s’imposent en 2 sets. Bien que dominées, nos 2 estivareilloises gardent un sourire qui nous laissent couac nous obligeant encore et toujours à buriner notre euphorie à l’intérieur.
CHAMPIONNES DU MONDE ; NOUS REMPORTONS NOTRE PREMIERE RENCONTRE 3 à 2. Chaaaaaaaaaaaaaampagne
Pour la suite, c’est respect ! Nos papilles en jouissent encore. Saperlipopette, que c’était bon ! Désolée pour les absentes, mais pas de doggy bag dans nos poches. Le pâté aux pommes de terre de Maria, ce n’est pas qu’une légende. Donc pour les prochaines rencontres à Estivareilles, il faudra mériter sa place et être extrêmement gentille avec captaine (qui adore le gâteau au chocolat, les crêpes et le vin toutes couleurs confondues……)
laurence DUMERY 4 février 2014 22:05
ça va faire plaisir à Caro ma montée au filet !!! gagnante évidemment ….J'aaaaaadore être au filet
Clélia Robin 4 février 2014 09:30
Merci Anne ! J'adore tes articles !
Karine Boyer 4 février 2014 00:06
je ne trouve que 2 mots à dire: chapeau bas!!!
claudine bougerol 3 février 2014 09:09
bravo pour la victoire, et aussi pour cet article digne d'une journaliste qui sait rapporter l'ambiance qui règne sur et autour des terrains.
Commentaires